Les Histoires Érotiques Du Couple Warda Et Slim LHomme À La Voiture Noire, Quatrième Partie
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Je ne tardais pas à revoir Warda. Elle me donna rendez-vous moins dune semaine plus tard pour, me dit-elle, me dire tout son bonheur de vivre une aventure amoureuse vraiment exceptionnelle. Elle mavait déjà mis leau à la bouche en mannonçant précédemment quil sagissait maintenant dun ménage à quatre. Lhistoire du ménage à trois était maintenant dépassée. Jétais impatient de connaître les détails de la nouvelle histoire.
Mohand était parti vers ses nouvelles conquêtes et avait laissé sa femme Aïcha, son fils Sofiane et Warda ensemble. Slim devait les rejoindre. Il y avait là tous les ingrédients dune nouvelle aventure, mais seul, je ne pouvais deviner tout ce qui avait pu se passer dans cette grande villa. Je pouvais évidemment deviner que Slim allait baiser avec Aïcha ; cétait assez simple. Warda allait aussi être possédée par lun et par lautre, cétait tout aussi simple. Peut-être même par les deux ensembles. Ce nétait donc pas cela qui allait faire le piment de la nouvelle aventure. Il devait nécessairement y avoir quelque chose dautre, que Warda navait pas encore connu, ni vécu, jusque là. De guerre lasse, jarrêtais mes supputations et attendit, larrivée de Warda / Shahrazade pour démêler les fils de lintrigue.
Warda arriva aussi pimpante quà son habitude. Aussi belle et sensuelle ! Et aussi provocante ! Je me rendis compte que jen pinçais sérieusement pour elle ! En la voyant sapprocher de la table que joccupais dans le petit restaurant où nous avions convenus de diner ce soir là, je maperçus que javais le cur qui battait très fort. Elle me vit de loin et me lança son merveilleux sourire. Elle me donna gentiment une bise sur la joue droite et sassit en face de moi. Javais envie de me lever, de lenlacer et de lui donner un de ces baisers torrides dont elle parlait à chacune de ses aventures.
Javais de plus en plus envie de cette femme ! Je crois que non seulement, je la désirais, à limage de tous les hommes qui étaient dans le restaurant et qui ne la quittaient pas de leurs concupiscents, mais il mapparaissait maintenant très nettement, que jétais entrain de tomber amoureux delle.
Je savais tout dabord que le rôle que javais accepté de jouer, au tout début de ma rencontre avec le couple, ne pouvait être tenu que par une personne complètement neutre. Le conteur nétait jamais rien dautre quun médiateur entre ceux qui vivent une histoire et ceux qui lécoutent ou la lisent. Il na pas le droit de participer à son déroulement.
Dun autre côté, je ne pouvais prétendre au rôle de protagoniste de lhistoire de par mon physique, plutôt quelconque et mon âge assez avancé. Pour devenir lamant, ou lami, ou le mari de Warda, il faut être beau, jeune et super bien membré. Or je nétais rien de tout cela. Je devais donc rester à ma place et me contenter découter les récits quelle narrait et pour me consoler
me noyer dans les tonnes de fantasmes quelle minspairait.
Je lui demandais donc dentrer dans le vif du sujet et reprendre son rôle de lhéroïne principale des mille et une nuits Shahrazade.
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Quand Slim nous rejoignit cette nuit là et quil fit la connaissance de Aïcha, il la trouva immédiatement à son goût. Dailleurs, il ne soccupa plus que delle, en lembrassant, la caressant et en lui faisant, devant Sofiane et moi, un formidable cunnilingus, qui la transporta jusquaux plus hauts sommets du plaisir sexuel. Elle portait toujours son kimono en soie bleue, mais était toute nue dessous. Je venais de voir sa nudité pour la première fois. Elle était vraiment parfaite et bandante ! Même moi, une femme aimant les hommes, je commençais, en la regardant, à ressentir des émotions, qui métaient totalement inconnues jusque là.
Dabord sa beauté ! Son corps parfait appelait les caresses ! Javais envie de tendre la main pour memparer de ses magnifiques seins, pas très gros, mais fermes et tendus fièrement vers le plafond.
Il comprit très vite le message et défit complètement la ceinture en soie qui retenait les pans du kimono pour découvrir la magnifique intimité de la belle-mère de Sofiane. Je crois avoir une chatte superbe ! Mais celle de Aïcha est une véritable uvre dart : petite, serrée, palpitante avec des grandes lèvres charnues et superbement ourlées, se terminant par un magnifique petit triangle doù sortait un peu de mouille luisante. Le tout parfaitement épilée. Javais le cur qui battait la chamade et le souffle court, en regardant le paradis de Aïcha. Cétait le même type de sensation que javais chaque fois que je regardais le magnifique zob de Sofiane, ou même celui de Slim ! Je mouillais !
Je venais de découvrir, en regardant mon mari caresser Aïcha que javais envie dêtre à sa place ! Je bandais pour une femme ! Cette sensation nouvelle je ne savais absolument pas que javais des pulsions homosexuelles, même si je navais jamais eu de préjugés contre lhomosexualité me laissa un moment abasourdie et honteuse. Je ne savais pas si je devais lavouer à mes hommes et si surtout je devais en faire part à lobjet de mon nouveau désir. Je craignais quelle réagisse mal. Je savais que Sofiane et Slim étaient larges desprit et pouvaient comprendre nimporte quelle pulsion érotique, mais je ne connaissais pas assez Aïcha pour savoir ce quelle pouvait penser de mon désir pour elle. Je restais donc bien sage et continuait à regarder Slim, qui fourrageait entre les cuisses de sa partenaire du moment.
Je regardais du côté de Sofiane, pour voir ce quil faisait. Comme moi, il était entrain de regarder mon mari soccuper de la chatte de sa belle-mère.
Il sétait mis à genoux par terre, devant le sofa sur lequel se trouvait la splendide Aïcha. Il lui avait écarté les cuisses et avait plongé sa tête et sa bouche pour prendre possession de sa chatte. De là où jétais je ne voyais pas ce que la bouche de Slim faisait, mais en regardant les réactions de la femme, je sentais tout le plaisir quil lui donnait. Je connaissais bien moi-même lhabileté diabolique de Slim pour me faire jouir avec sa bouche et je ressentais, par procuration, ce que Aïcha était entrain de vivre. Dailleurs, la femme ne soccupait plus de rien dautre que du plaisir quelle était entrain de prendre, sous la bouche et la langue expertes de mon mari.
Elle avait fermé les yeux et tenait la tête de son partenaire, à qui elle faisait faire les mouvements quelle désirait. Nous la regardions, Sofiane et moi gémir et pousser des cris de plus en plus stridents, au fur et à mesure que son plaisir grandissait et gagnait en intensité. Nous la regardions, monter et descendre ses hanches, pour suivre le rythme des allers-retours de la bouche de son amant sur sa chatte. Elle narrivait plus à se retenir. Je sentais quelle avait envie de crier et de dire des choses. Elle nosait pas encore (peut-être un reste de pudeur !), mais au bout dun moment, elle ny tint plus. Elle se mit à soliloquer doucement dabord, comme si elle ne voulait pas que nous entendions ce quelle disait, puis de plus en plus fort :
- Oui ! Oui ! Cest bon ! Cest merveilleux ! Ta bouche est mieux quun zob ! Elle me transporte au septième ciel ! Continue ! Ne tarrête pas ! Encore ! Plus vite ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je
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Et elle partit dans un formidable orgasme qui la fit hurler de plaisir et qui la fit baver comme une fontaine. Elle serrait ses cuisses très fort sur la tête de Slim et tirait sur ses cheveux pour faire aller sa tête de plus en plus vite sur sa chatte. Et tout dun coup, elle se relâcha totalement et senfonça dans le sofa, fourbue de fatigue, mais béate de bonheur.
- Cet homme est un diable ! fit-elle, en nous regardant dun air un peu gêné (Cétait, la première fois quelle faisait lamour devant des gens). Il est arrivé à me faire jouir comme une folle, rien quavec sa bouche ! Même avec Sofiane, je nai pas connu cette sensation. Il ma souvent embrassé et léché la chatte, mais ne ma jamais fait lamour comme ça. Quest-ce ça doit être avec son engin.
- Tu veux le voir ? Lui répondit Slim, qui était le seul dentre nous qui navait pas encore baisé de la journée.
- Ouiiii ! répondit-elle précipitamment, en me regardant pour voir si je ny voyais aucun inconvénient.
Mon mari ne se fit pas prier pour sortir son bel engin de son pantalon et le montrer à sa partenaire, pour quelle le prenne dans sa main.
- Il est très beau ! Bien lisse et bien gros ! Il na pas la longueur de celui de Sofiane, mais il est plus gros. Je vais me régaler. Quest-ce que tu attends pour me baiser ? Que jappelle les pompiers ?
Mais Slim, mon Slim ! ne lentendait pas de cette oreille. Il voulait avoir un autre type de jouissance. Il était toujours à la recherche de nouveauté. Il regarda vers nous et appela Sofiane pour quil le rejoigne sur le sofa.
- Je vais enculer ta belle-mère ! Jespère quelle nest pas vierge de ce côté-là ! Mais je veux que toi aussi tu la tires en même temps. Nous allons lui remplir ses deux trous !
- Oui !!! Répondit Sofiane que lidée de baiser sa belle-mère, en même temps que son ami lencule, émoustillait au plus haut point.
Il vint sallonger sur le sofa, le gourdin en bataille, dressé comme un sabre vers le plafond. Aïcha qui comprit très vite ce qui allait arriver, ne se fit pas prier pour venir sempaler sur le magnifique zob, tendu comme un poignard attendant la victime à pourfendre. Elle y alla avec précaution, connaissant parfaitement la puissance du zob de son amant. Elle positionna ses grandes lèvres au dessus de lengin, les ouvrit avec deux doigts et se laissa tomber doucement jusquà ce que tout le manche soit avalé pat le tunnel.
Elle poussa un petit cri de plaisir quand elle fut totalement empalée. Sofiane lui fit relever ses hanches dune quinzaine de centimètres pour pouvoir entreprendre lui-même le mouvement de va-et-vient à lintérieur de vagin, chaud, visqueux et super moulant. Il fit quelques mouvements montant et descendant, le temps de bien huiler les lieux et attendit que Slim commence sa pénétration anale. Je regardais le spectacle en bavant. Jaurais bien voulu être à la place de Aïcha ! Jétais devenue une fervente consommatrice de la double pénétration ! Avec mes deux hommes, nous lavions pratiquée souvent. Et jai toujours adoré ! Je savais ce que la femme allait ressentir, à partir du moment où Slim allait cracher dans sa main pour mouiller lanneau de lanus, puis son zob, en passant par le moment où il allait poser son gland sur lanus de sa maitresse, jusquà celui où il donnera une très forte poussée à ses hanches et la pénétrer jusquau fond.
Je savais ce quelle allait ressentir, au moment où les deux hommes allaient manuvre ensemble, pour aller et venir dans ses deux trous. Je pensais à cette merveilleuse sensation de deux magnifiques zobs qui se croisaient en elle, en se frottant lun contre lautre et en lui donnant deux fois plus de plaisir. Je savais quelle allait complètement se perdre dans le plaisir et se mettre à hurler, crier, gémir et dire des choses incompréhensibles pour tous, sauf pour elle. Et ce fut bien cela qui arriva : Aïcha se mit à pousser des cris de plus en plus stridents qui accompagnaient son plaisir, de plus en plus grand. Je me levais pour pouvoir regarder de plus près le merveilleux spectacle qui se déroulait devant moi. Je regardais Aïcha qui avait fermé les yeux, mais ouvert la bouche, doù dégoulinait un filet de salive quelle narrivait pas à retenir. Je voyais sa tête qui partait dans tous les sens, et dont elle ne pouvait plus contrôler le mouvement désordonné.
Je la voyais, magnifique, entrain de prendre du plaisir et dire des choses dont je ne comprenais pas grand-chose, si ce nest quelques mots, ça et là :
- Cul ! Zobs ! Deux ! Bon ! Merveilleuuuuuuuuuux ! Encoooooore !
De ce superbe trio je ne voyais que Aïcha ! Je voyais ses magnifiques seins se balancer au rythme des coups de boutoir de ses deux amants. Je tendis presque inconsciemment la main pour les caresser. Elle ouvrit les yeux un moment, au contact de mes doigts sur sa poitrine et me fit un merveilleux sourire. Une invitation à continuer ! Jétais aux anges ! Je pouvais caresser la superbe pouliche offerte à ses deux étalons et qui en voulait encore plus ! Je me mis à lui caresser les seins, doucement, avec tendresse et amour (je venais de découvrir que jaimais aussi cette femme, comme jaimais mes deux hommes !) en insistant longuement sur ses tétons, marron et fermes. Et puis je pris sa tête entre mes mains me mit à lécher ses lèvres et son menton remplis de salive avant de lembrasser. Elle me rendit mon baiser, avec autant de ferveur et de désir que moi. Nous eûmes un vrai baiser torride damoureux et damants; avec la langue et la salive !
Elle ne tarda pas à avoir un orgasme, qui éclata comme une bombe. Elle hurla dans ma bouche qui avait pris possession de la sienne, mobligeant à me retirer. Elle expulsa un flot de salive, qui alla sétaler sur le torse de Sofiane, au dessous delle. Sa tête se remit à aller dans tous les sens, comme une poupée désarticulée, en même temps que sa respiration devenait de plus en plus difficile. Elle était au bord de l. Et puis tout sarrêta, les allers-retours du zob de Sofiane dans sa chatte et ceux du zob de Slim dans son cul. Tous les deux avaient éjaculés, sans même que je men rende compte, occupée que jétais avec la seule Aïcha. Ils avaient joui en même temps tous les trois. Je les regardais reprendre leur souffle et savait que Slim nallait pas tarder à venir me présenter son gros zob, pour que je le nettoie avec ma bouche. Jétais, comme dhabitude prête à le faire. Mais surprise, au lieu de présenter son manche devant ma bouche, il alla vers celle de Aïcha, qui le regarda ave des yeux étonnés, nayant pas été habituée à cela.
- Nettoie-le avec ta langue ! Ordonna-t-il dune voix qui nadmettait pas de refus.
Aïcha me regarda, ne sachant que faire. Je lui souris et lui dit de le prendre entre ses doigts et de le lécher, puis de le sucer, jusquà ce quil redevienne propre. Elle le fit, avec précaution au début, puis avec de plus en plus dassurance. Elle finit même par le refaire bander et par lui appliquer une fellation (cela elle savait parfaitement le faire !) Slim ne mit pas longtemps à éjaculer exprès sur le visage et la poitrine de sa maîtresse, me demandant à moi de la lécher et davaler tout son sperme. Jattendais cela avec impatience. Non pas pour le plaisir davaler le sperme de mon mari, mais surtout pour embrasser et lécher la splendide Aïcha. Javais envie de promener ma bouche et ma langue sur son corps et son visage. Je voulais lembrasser et lui communiquer mon désir delle. Elle se laissa faire, sagement dabord, plus avec de plus en plus de plaisir et de fureur. Elle se mit même rapidement à me rendre mes baisers et mes caresses et à tendre ses mains vers mes seins, puis vers ma chatte.
Les deux hommes nous regardaient faire en souriant. Ils étaient contents de nous voir faire lamour. Ils recommençaient à bander comme des boucs. Pendant que Aïcha et moi en étions à nous sucer la chatte dans la position tête-bêche, Slim et Sofiane nous regardaient, en se caressant leur zob. La chatte de Aïcha était encore pleine du sperme de Sofiane, jen profitais pour le sucer et lavaler, en même temps que javalais tout le jus quelle sécrétait en abondance. Je sentais quelle prenait du plaisir avec ma bouche; elle bougeait fiévreusement ses hanches, pour que ma bouche garde un contact très fort avec sa chatte.
Elle en faisait de même avec ma chatte. Elle suçait et léchait avec fureur mes grandes et mes petites lèvres et tentait dintroduire sa langue au fond de mon vagin. Jadorais cette bouche qui faisait du bien à ma chatte et qui me donnait tant de plaisir. Je sentais ses lèvres qui cherchaient mon clitoris et qui voulaient lattr. Je sentais aussi sa langue qui léchait avec vigueur les parois de mon vagin et qui ramassait tout ce quelle pouvait de jus, quelle avalait avec gourmandise. Elle utilisait même de temps en temps ses dents pour mordiller mes grandes et petites lèvres et surtout mon clitoris. Cétait comme si elle mappliquait de très légères et très agréables décharges électriques sur le clito. Je les sentais qui irradiaient sur tout mon ventre et qui mamenaient à une superbe jouissance. Ce fut dailleurs moi qui la première déchargea dans la bouche de mon adorable maîtresse. Elle avala tout le jus que je lâchais, avant quelle-même ne se mit à décharger à son tour, me replissant la bouche de cyprine salée et acidulée, que je bus avec délectation.
Nous restâmes un long moment ainsi, nos têtes entre nos cuisses respectives, à reprendre notre souffle avant de nous séparer. Cest là que nous vîmes nos deux hommes debout devant nous, attendant leur tour de nous posséder. Slim et Sofiane étaient nus, leur sexe dans la main, se regardant pour savoir laquelle de nous, chacun allait baiser. Sofiane me choisit moi et Slim choisit Aïcha. Et cétait reparti pour une tour ! Ils nous baisèrent toutes les deux en levrette, à quatre pattes sur le carrelage, nos têtes posées sur le bord du sofa. Jétais fatiguée et fourbue ; je supposais que Aïcha était dans le même état que moi. Mais nos deux hommes sy prirent tellement bien que toutes les deux, nous ressentîmes le désir revenir à toute allure et le plaisir avec.
Pendant que nos hommes nous entreprenaient, Aïcha et moi nous nous regardions dans les yeux, en nous souriant. Nous étions toutes les deux très heureuses. Nous venions de passer une journée formidable où nous avions fait dénormes découvertes. Sur nous même dabord : nous avions découvert que nous nous aimions et que nous aimions faire lamour ensemble ; entre femmes ! Sur tout le reste ensuite : lamour à quatre, qui nous donnait à toutes les deux autant de plaisir, que lamour avec nos seuls maris ou amants. Nous avions aussi découvert que nos hommes étaient de vrais complices et sentendaient à merveille sur tout.
Le nouveau coït ne dura pas très longtemps : nos hommes, tout comme nous, étaient fatigués. Ils jouirent presque en même temps, sans que nous, les femmes, les instruments de leur plaisir, ne pûmes jouir avec eux. Mais cela nous importa peu. Ce qui était important, cétait que nous venions de vivre une journée exceptionnelle, qui annonçait dautres journées toutes aussi exceptionnelles. Nous décidâmes daller dormir, après avoir pris une douche bien chaude. Aïcha et moi prîmes un bain ensemble : nous mîmes beaucoup de temps, ce qui poussa nos hommes à aller se laver dans les autre salles de bains de la villa (qui en comptait trois : une à chaque étage). Avec mon amie et amante nous restâmes plus dune heure dans la baignoire remplie deau chaude.
Jen profitais pour moccuper du merveilleux corps de ma partenaire, en la caressant et lembrassant tendrement. Je profitais de sa belle peau si douce et si ferme ; de ses fesses de pouliche, que je caressais et embrassait et léchais sans vergogne. Je me comportais avec elle comme si jétais un homme. Cétait moi qui lentreprenais : elle se laissait faire, en poussant des petits rires de plaisir. Elle aimait mes caresses et me le montrait en gémissant. Je ne voulais pas la faire jouir, ou jouir moi-même ; je voulais seulement lui montrer tout mon amour et toute ma tendresse. Nous sortîmes de la salle de bain en riant comme des collégiennes. Nous étions heureuses et le montrions à nos hommes, que nous rejoignîmes dans la chambre de Aïcha (et de son mari Mohand).
Ils étaient fourbus et avaient vraiment envie de dormir. Nous nous installâmes entre eux, moi du côté de Slim et elle, du côté de Sofiane. Nous dormîmes du sommeil du juste dans les bras lune de lautre. Nos hommes au réveil, nous trouvèrent ainsi enlacées, comme des petites filles qui avaient peur de se perdre.
Notre histoire à quatre continua longtemps. Nous avions réellement trouvé notre équilibre. De temps en temps Mohand, le père de Sofiane et le mari de Aïcha revenait pour demander son dû, c'est-à-dire sa femme. Quand il revenait, la panique sinstaurait chez nous. Nous avions peur quil nexige de reprendre définitivement sa femme et quil lui interdise de nous revoir. Nous avions peur que la belle histoire finisse comme cela, en queue de poisson, nous privant dune partie essentielle de notre vie amoureuse. Aïcha nous était devenue indispensable: aux hommes dabord, parce que cétait vraiment un superbe coup, dont aucun des deux ne pouvait plus se passer, y compris Slim, mon mari, qui maintenant la considérait comme son épouse, au même titre que moi.
A moi ensuite, qui étais tombée amoureuse folle de cette divine plante, et qui me le rendait au centuple. Elle me donnait autant de bonheur que mes deux hommes. Avec elle, il était autant question de sentiments lAmour, avec un A majuscule que de sexe. Son corps, son cul, sa bouche, sa manière totalement libre de soffrir à moi et daccepter toutes mes folies érotiques, étaient devenus une drogue pour moi. Et je crois que jétais, moi aussi, devenue sa drogue. Nous étions accros lune à lautre, au grand bonheur de nos hommes, qui trouvaient en notre amour lesbien, un complément agréable à leur vécu érotique. Nous appartenions corps et âmes à nos hommes, qui nous transportaient tous les jours vers les plus hauts sommets du plaisir et de la jouissance sexuels, puis nous repartions ensemble Aïcha et moi vers dautres plaisirs érotiques, qui nous étaient propres.
Parfois, lun ou lautre de nos hommes et quelquefois les deux en même temps voulait participer à nos jeux. Nous refusions de les accepter entre nous, au moment de nos ébats. Notre bonheur en ces moments là était déchanger entre nous, les filles. Il ny avait pas de place pour un homme ; ni pour deux. Ce nest quaprès, une fois rassasiées, que le retour des mâles était permis. Entre Aïcha et moi, cétait surtout la Tendresse et lAmour qui sexprimaient. Nous étions comme des midinettes amoureuses, qui minaudions tout le temps ; nous riions ensemble et nous moquions de tout, particulièrement des hommes, qui nous paraissaient trop sérieux. Cétait un bonheur serein.
Avec les hommes, il sagissait surtout de sexe et dérotisme torride. Cétait aussi le bonheur, mais un bonheur qui était la conséquence de notre volonté furieuse de vivre nos passions et dexplorer les recoins les plus reculés du plaisir amoureux. Nous étions prêts, hommes et femmes, à toutes les expériences sexuelles, non avilissantes. Aucun de nous quatre, nétait près à franchir la ligne rouge qui sépare lérotisme de lavilissement et de la maladie mentale. Nous adorons être soumis à la volonté de nos partenaires et même dêtre leurs chiens ou leurs chiennes, mais en aucun cas, nous allons vers des comportements sadiques ou masochistes, fait de douleur et davilissement ; et bien entendu, nous nacceptons pas les actes sexuels s, non voulus et non assumés. La pédophilie, bien entendue, nous était étrangère. En dehors de ces limites que lon peut paradoxalement qualifier de morales nous navions pas de limites à notre plaisir et à notre manière de vivre lérotisme.
Cétait pour cela que chaque fois que Mohand pointait son nez, léquilibre de notre groupe vacillait sur ses bases. Il nous séparait de Aïcha, quil se réappropriait un temps le temps dassouvir ses instincts et de revivre avec elle des moments à forte valeur érotique avant de repartir vers de nouvelles aventures de prédateur sexuel. Quand elle revenait, deux ou trois jours plus tard dans le groupe, elle avait la mine épanouie de celle qui venait de connaître de superbes moments de plaisir (elle disait quil était resté un superbe coup au lit, toujours aussi brutal et insatiable, et que chaque fois, il la faisait jouir comme une folle). Elle nous expliquait que Mohand, voulait surtout que nous noublions pas son existence et le pouvoir quil avait de détruire, si lenvie len prenait, lharmonie de notre groupe.
En dehors de ces avertissements, sans trop de conséquences pour linstant, la vie dans le groupe se déroulait comme un long fleuve tranquille, plein de dérotisme et damour. Cette vie continua longtemps et eut dautres ramifications. La plus surprenante, était larrivée dans le groupe, pour un court, mais intense, moment, de Kamel, le jeune frère de Sofiane et de son amie, Emilie, une splendide eurasienne de vingt quatre ans.
Mais ceci est une autre histoire, que je te narrerai une prochaine fois.
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